29.4.10
25.4.10
Dans quelques années : ruinés, victimes de la Sécu collectiviste !
« Il y a eu un moment, un moment où je me suis sentie, j'ai honte de dire, heureuse. Mais après, il y a eu un autre moment où j'ai compris qu'il me faudrait vivre tout le reste de ma vie, ou essayer de vivre, avec un stress incroyable et dans la pauvreté totale. »
« Six mois ont passé depuis que je suis ruinée. Je me débrouille avec des bons alimentaires. A la fin du mois, je fouille parfois dans les poubelles. Je ne peux pas me permettre de changer de lunettes. Je rêverais d’aller à un concert mais c’est impossible. Parfois, mon cœur se met à battre de manière irrégulière quand je n’ai pas pris mes médicaments parce que je ne peux pas les payer. Je cire mes chaussures chaque soir, de peur qu’elles s’usent. Je lave mon linge à la main dans l’évier de la cuisine. J’ai collecté des boîtes vides et je les ai rapportées à des centres qui les récupèrent… Parce qu’il était admis parmi nous, ce voleur qui s’était introduit chez nous savait que ses victimes risquaient la mort par sa faute, et pourtant il a continué de jouer avec nous comme un chat avec une souris. »
Miriam Siegman, 65 ans, fille de trotskiste, n’a qu’une hantise : être chassée de l’appartement où elle habite depuis cinquante-cinq années. C’est un trois-pièces au 20e étage d’un HLM où son père posa un jour ses valises (...). Veuve, elle n’a personne vers qui se tourner. Miriam avait pourtant tout prévu, cotisant de longue date à une organisation suisse pour régler son enterrement. « Je les ai prévenus que je ne pouvais plus payer, et ils me demandent des justificatifs pour m’accorder une réduction de 50%. Voilà où j’en suis pour mourir dignement...»
Bon, rectifions, il s'agit d'une victime de Madoff (sources des extraits : Madoff en détention ; La fête est finie pour Madoff et le livre Madoff, l'homme qui valait cinquante milliards de Mark Seal). Mais les gens bien informés (comme les personnes qui lisent ce blog) savent bien que le système social français (retraite et assurance-maladie) est un système Madoff à la puissance mille, et que sa faillite finale éclipsera le système Madoff, qui paraîtra une aimable plaisanterie à côté de la chute du monstre français !
24.4.10
SECU + TROP = PROCUSTE
(Librement adapté de Le Lit de Procuste)
Le bandit Procuste est associé au lit de torture dont il se servait pour supplicier les pauvres voyageurs tombés entre ses griffes. Procuste installait sa future victime sur un lit à dimensions variables: court pour les grands et long pour les petits. Selon le cas, il tranchait d'un coup d'épée ce qui dépassait du lit ou allongeait le corps du voyageur jusqu'à amener la longueur du malheureux à celle du lit, en utilisant un mécanisme qu'Héphaïstos lui avait fabriqué. Dans les deux cas le supplice était effroyable. Thésée éventa le piège et se mit dans le lit en biais. Lorsque Procuste vint ajuster le corps de Thésée, il ne comprit pas immédiatement la situation et resta perplexe le temps pour Thésée de sectionner, d'un coup d'épée, le brigand en deux parties égales.
Le lit de Procuste antériorise de manière brutale l'image chrétienne "d'abaisser les grands et d'élever les petits". Il est aussi synonyme de la mauvaise foi de ceux qui, nantis d'un pouvoir discrétionnaire, ont toujours raison par définition et qui exercent, au nom de leur autorité, sur leurs assujettis, des nuisances jusqu'à et y compris la limite maximum que la société leur octroie. La solution trouvée par Thésée nous invite à ne jamais nous placer en porte-à-faux vis-à-vis de ces représentants implacables des appareils judiciaire, policier, administratif, fiscal en un mot des entités coercitives susceptibles de nous faire subir sans indulgence leurs petites tracasseries. Cela va de la charmante contractuelle qui inflige une contravention pour dépassement de temps de stationnement au juge intègre et strict qui applique à la lettre, sans miséricorde possible, les termes vengeurs du code pénal, en passant par l'agent du fisc qui poursuit de sa hargne le contribuable pour un oubli de déclarer un revenu de quelques centaines de francs ou encore par les grévistes des services publics qui, de par leurs positions stratégiques, paralysent les usagers nourriciers, sans parler de ces cohortes de parasites qui harcèlent leurs administrés sur des points de détail. Le fait d'avoir tranché en deux le corps de Procuste signifie symboliquement que, pour neutraliser une entité coercitive, il suffit de la mettre en contradiction avec elle-même en divisant ses propres principes.
Nous pourrions proposer une autre interprétation plus générale du mythe de Procuste. Par exemple le lit représenterait le symbole du politiquement correct, de la société officielle soutenue par ses défenseurs patentés, de l'establishment des bien-pensants ; en un mot de la "normalité" qu'une infime minorité agissante de forbans réussit à faire admettre ou à imposer à l'ensemble des gogos passifs. Tant que l'on se soumet à l'ordre fixé, en apparence, arbitrairement, c'est à dire payer régulièrement ses impôts (dont sont étrangement dispensés de vérifications compromettantes ceux-là même qui les votent ou qui en croquent impunément une partie de par leurs fonctions officielles), accepter sans protester les bourdes ou malversations des gouvernants, commises avec bonne conscience au nom de la République, on ne court pas le risque d'un ajustement à la Procuste. Mais, à l'opposé, qu'on se mêle de dénoncer les scandales trop voyants, de condamner les manquements aux règles élémentaires de la démocratie, et alors on se voit appliquer le mécanisme d'Héphaïstos, c'est-à-dire entrer dans le rang.
Les personnes chargées d'appliquer la règle de Procuste, sont d'ailleurs à l'image du fripon mythique : sans état d'âme particulier et avec la conviction du devoir accompli. Sous la Terreur robespierriste, le bourreau Sanson ne se posait aucune question lorsqu'il raccourcissait indifféremment une canaille politique, une innocente jeune noble ou un esprit brillant. Le grand mécanisme était bien huilé et fonctionnait de manière systématique. Il ne serait venu à l'idée de personne de jouer les Thésée en coupant en deux le bourreau lui-même ; il valait mieux décapiter le pourvoyeur en chef. Robespierre n'est pas tombé parce qu'il apparaissait comme un féroce sanguinaire, puisque la populace venait assister dans l'allégresse aux exécutions capitales, mais simplement parce qu'il osa s'attaquer à la propriété privée en voulant supprimer le concept d'héritage. Chose que les nouveaux nantis n'auraient su admettre et qui fit chuter l'Incorruptible. Ce dernier, surpris, à l'instar de Procuste face à Thésée, par l'attaque en biais d'un discours orageux, n'eut pas le temps de mettre en œuvre, contre ses opposants, le mécanisme dégoulinant et fut à son tour coupé en deux.
Plus près de nous, lorsque en août 1961, dans une sorte de cauchemar kafkaïen, le pseudo gouvernement officiel d'Allemagne de l'Est décida d'entourer Berlin-ouest d'un mur de séparation, aucun Thésée n'osa se dresser, sinon en parole, devant les ouvriers qui, consciencieusement commençaient à installer les fils de fer barbelés. Avec le recul, on sait aujourd'hui que l'envoi d'une seule chenillette aurait suffi à écraser les barbelés et à faire renoncer aux petits Procuste de Pankow, surpris par une telle initiative intelligente, à continuer bien gentiment leurs travaux de maçonnerie. Quant aux Héphaïstos soviétiques, coupables en arrière plan de l'érection du mur, auraient eu la malhonnêteté de prétendre qu'ils n'étaient en rien responsables des décisions de leur protégé Walter Ulbricht. Pas plus que les nazis n'étaient responsables de la rafle du Vel' d'Hiv, puisque les opérations, depuis la conduite des autobus jusqu'à la déportation finale, avaient été menées par des Procuste français sans que des homologues théséens ne se manifestent pour empêcher le grand mécanisme, décidé par un chef suprême, décati et gâteux.
La mythologie nous enseigne qu'il faut éviter de tomber entre les griffes de Procuste de manière à ne pas en subir le test ; mais si on se retrouve dans le lit fatal, il convient de louvoyer, de finasser et en définitive de contre-attaquer très vite après avoir surpris le fripon. Pendant l'Occupation allemande, quelques sages ont réussi à mettre des distances avec le régime pétainiste, avant de contribuer à le faire chuter en aidant discrètement les forces de Libération. Certains ont même été récompensés et le sont toujours pour avoir adopté l'attitude avisée de Thésée face aux petits Procuste de la Collaboration. Il est vrai qu'avec le recul de l'Histoire, il semble facile de savoir ce qu'on aurait fait, bien qu'en suivant les enseignements de la mythologie grecque il eût semblé plus commode de marcher dans un sillon tracé il y a plus de 25 siècles.
Aucune religion, aucune secte, aucune croyance ne saurait mettre en avant des principes qui ne s'autodétruiraient sui generis. Je m'explique. Si un ordre établi quelconque émet un concept ou un principe, c'est un jeu d'enfant de trouver le principe contraire, exprimé par le même ordre, pour entrer en conflit avec le principe initial. (…) Même l'Etat républicain, malgré son petit nombre d'imperfections, n'est pas à l'abri de contradictions souvent cocasses. Par exemple, alors que la prostitution et le racolage sont formellement interdits par la loi, on ne comprend pas pourquoi certains agents du fisc réclament des impôts aux femmes vivant de leurs charmes et n'hésitent pas à faire le pied de grue pour compter, carnet et crayon à la main, le nombre de passes qu'elles réalisent à la semaine. On entend un Ministre de la Justice affirmer, le cœur sur la main, que le système pénitentiaire français est à l'abri de l'homosexualité, tandis que son collègue de la Santé, lors de l'apparition du sida, fait distribuer des préservatifs aux pensionnaires des prisons. Ce fut en connaissance de cause qu'un trio ministériel accepta que l'on prélevât du sang contaminé sur ces derniers en prétendant qu'ils contribueraient ainsi à une œuvre valorisante. Sancta simplicitas !
On vient de voir combien le mythe de Procuste est fertile aussi bien par sa simplicité de présentation que par les nombreuses interprétations auxquelles il donne lieu. Les multiples transpositions que l'on y décèle ne sont pas limitées en nombre et peuvent sans difficulté s'appliquer à d'autres domaines où les relations humaines sont sujet à des antagonismes qui opposent la mauvaise foi au bon droit, la filouterie à l'honnêteté, la grossièreté à la finesse, la bonne conscience à la remise en cause, l'inflexibilité à la modération etc.
Le bandit Procuste est associé au lit de torture dont il se servait pour supplicier les pauvres voyageurs tombés entre ses griffes. Procuste installait sa future victime sur un lit à dimensions variables: court pour les grands et long pour les petits. Selon le cas, il tranchait d'un coup d'épée ce qui dépassait du lit ou allongeait le corps du voyageur jusqu'à amener la longueur du malheureux à celle du lit, en utilisant un mécanisme qu'Héphaïstos lui avait fabriqué. Dans les deux cas le supplice était effroyable. Thésée éventa le piège et se mit dans le lit en biais. Lorsque Procuste vint ajuster le corps de Thésée, il ne comprit pas immédiatement la situation et resta perplexe le temps pour Thésée de sectionner, d'un coup d'épée, le brigand en deux parties égales.
Le lit de Procuste antériorise de manière brutale l'image chrétienne "d'abaisser les grands et d'élever les petits". Il est aussi synonyme de la mauvaise foi de ceux qui, nantis d'un pouvoir discrétionnaire, ont toujours raison par définition et qui exercent, au nom de leur autorité, sur leurs assujettis, des nuisances jusqu'à et y compris la limite maximum que la société leur octroie. La solution trouvée par Thésée nous invite à ne jamais nous placer en porte-à-faux vis-à-vis de ces représentants implacables des appareils judiciaire, policier, administratif, fiscal en un mot des entités coercitives susceptibles de nous faire subir sans indulgence leurs petites tracasseries. Cela va de la charmante contractuelle qui inflige une contravention pour dépassement de temps de stationnement au juge intègre et strict qui applique à la lettre, sans miséricorde possible, les termes vengeurs du code pénal, en passant par l'agent du fisc qui poursuit de sa hargne le contribuable pour un oubli de déclarer un revenu de quelques centaines de francs ou encore par les grévistes des services publics qui, de par leurs positions stratégiques, paralysent les usagers nourriciers, sans parler de ces cohortes de parasites qui harcèlent leurs administrés sur des points de détail. Le fait d'avoir tranché en deux le corps de Procuste signifie symboliquement que, pour neutraliser une entité coercitive, il suffit de la mettre en contradiction avec elle-même en divisant ses propres principes.
Nous pourrions proposer une autre interprétation plus générale du mythe de Procuste. Par exemple le lit représenterait le symbole du politiquement correct, de la société officielle soutenue par ses défenseurs patentés, de l'establishment des bien-pensants ; en un mot de la "normalité" qu'une infime minorité agissante de forbans réussit à faire admettre ou à imposer à l'ensemble des gogos passifs. Tant que l'on se soumet à l'ordre fixé, en apparence, arbitrairement, c'est à dire payer régulièrement ses impôts (dont sont étrangement dispensés de vérifications compromettantes ceux-là même qui les votent ou qui en croquent impunément une partie de par leurs fonctions officielles), accepter sans protester les bourdes ou malversations des gouvernants, commises avec bonne conscience au nom de la République, on ne court pas le risque d'un ajustement à la Procuste. Mais, à l'opposé, qu'on se mêle de dénoncer les scandales trop voyants, de condamner les manquements aux règles élémentaires de la démocratie, et alors on se voit appliquer le mécanisme d'Héphaïstos, c'est-à-dire entrer dans le rang.
Les personnes chargées d'appliquer la règle de Procuste, sont d'ailleurs à l'image du fripon mythique : sans état d'âme particulier et avec la conviction du devoir accompli. Sous la Terreur robespierriste, le bourreau Sanson ne se posait aucune question lorsqu'il raccourcissait indifféremment une canaille politique, une innocente jeune noble ou un esprit brillant. Le grand mécanisme était bien huilé et fonctionnait de manière systématique. Il ne serait venu à l'idée de personne de jouer les Thésée en coupant en deux le bourreau lui-même ; il valait mieux décapiter le pourvoyeur en chef. Robespierre n'est pas tombé parce qu'il apparaissait comme un féroce sanguinaire, puisque la populace venait assister dans l'allégresse aux exécutions capitales, mais simplement parce qu'il osa s'attaquer à la propriété privée en voulant supprimer le concept d'héritage. Chose que les nouveaux nantis n'auraient su admettre et qui fit chuter l'Incorruptible. Ce dernier, surpris, à l'instar de Procuste face à Thésée, par l'attaque en biais d'un discours orageux, n'eut pas le temps de mettre en œuvre, contre ses opposants, le mécanisme dégoulinant et fut à son tour coupé en deux.
Plus près de nous, lorsque en août 1961, dans une sorte de cauchemar kafkaïen, le pseudo gouvernement officiel d'Allemagne de l'Est décida d'entourer Berlin-ouest d'un mur de séparation, aucun Thésée n'osa se dresser, sinon en parole, devant les ouvriers qui, consciencieusement commençaient à installer les fils de fer barbelés. Avec le recul, on sait aujourd'hui que l'envoi d'une seule chenillette aurait suffi à écraser les barbelés et à faire renoncer aux petits Procuste de Pankow, surpris par une telle initiative intelligente, à continuer bien gentiment leurs travaux de maçonnerie. Quant aux Héphaïstos soviétiques, coupables en arrière plan de l'érection du mur, auraient eu la malhonnêteté de prétendre qu'ils n'étaient en rien responsables des décisions de leur protégé Walter Ulbricht. Pas plus que les nazis n'étaient responsables de la rafle du Vel' d'Hiv, puisque les opérations, depuis la conduite des autobus jusqu'à la déportation finale, avaient été menées par des Procuste français sans que des homologues théséens ne se manifestent pour empêcher le grand mécanisme, décidé par un chef suprême, décati et gâteux.
La mythologie nous enseigne qu'il faut éviter de tomber entre les griffes de Procuste de manière à ne pas en subir le test ; mais si on se retrouve dans le lit fatal, il convient de louvoyer, de finasser et en définitive de contre-attaquer très vite après avoir surpris le fripon. Pendant l'Occupation allemande, quelques sages ont réussi à mettre des distances avec le régime pétainiste, avant de contribuer à le faire chuter en aidant discrètement les forces de Libération. Certains ont même été récompensés et le sont toujours pour avoir adopté l'attitude avisée de Thésée face aux petits Procuste de la Collaboration. Il est vrai qu'avec le recul de l'Histoire, il semble facile de savoir ce qu'on aurait fait, bien qu'en suivant les enseignements de la mythologie grecque il eût semblé plus commode de marcher dans un sillon tracé il y a plus de 25 siècles.
Aucune religion, aucune secte, aucune croyance ne saurait mettre en avant des principes qui ne s'autodétruiraient sui generis. Je m'explique. Si un ordre établi quelconque émet un concept ou un principe, c'est un jeu d'enfant de trouver le principe contraire, exprimé par le même ordre, pour entrer en conflit avec le principe initial. (…) Même l'Etat républicain, malgré son petit nombre d'imperfections, n'est pas à l'abri de contradictions souvent cocasses. Par exemple, alors que la prostitution et le racolage sont formellement interdits par la loi, on ne comprend pas pourquoi certains agents du fisc réclament des impôts aux femmes vivant de leurs charmes et n'hésitent pas à faire le pied de grue pour compter, carnet et crayon à la main, le nombre de passes qu'elles réalisent à la semaine. On entend un Ministre de la Justice affirmer, le cœur sur la main, que le système pénitentiaire français est à l'abri de l'homosexualité, tandis que son collègue de la Santé, lors de l'apparition du sida, fait distribuer des préservatifs aux pensionnaires des prisons. Ce fut en connaissance de cause qu'un trio ministériel accepta que l'on prélevât du sang contaminé sur ces derniers en prétendant qu'ils contribueraient ainsi à une œuvre valorisante. Sancta simplicitas !
On vient de voir combien le mythe de Procuste est fertile aussi bien par sa simplicité de présentation que par les nombreuses interprétations auxquelles il donne lieu. Les multiples transpositions que l'on y décèle ne sont pas limitées en nombre et peuvent sans difficulté s'appliquer à d'autres domaines où les relations humaines sont sujet à des antagonismes qui opposent la mauvaise foi au bon droit, la filouterie à l'honnêteté, la grossièreté à la finesse, la bonne conscience à la remise en cause, l'inflexibilité à la modération etc.
17.4.10
9.4.10
3.4.10
1.4.10
Poisson d'avril
Le poisson d'avril, sur ce blog cette année, sera qu'il n'y aura pas de poisson d'avril !!
En revanche, les poissons des années précédentes restent à l'étalage (ils ne sont pas frais mais on espère qu'ils ne sentent pas trop fort) :
- en 2009 : La Chine va adopter le système de Sécurité sociale français
- en 2008 : Sécurité sociale : l'arme anti-fraude absolue ?
- en 2007 : Bayrou propose un revenu maximum
- en 2006 : Nouvelles mesures vexatoires
En revanche, les poissons des années précédentes restent à l'étalage (ils ne sont pas frais mais on espère qu'ils ne sentent pas trop fort) :
- en 2009 : La Chine va adopter le système de Sécurité sociale français
- en 2008 : Sécurité sociale : l'arme anti-fraude absolue ?
- en 2007 : Bayrou propose un revenu maximum
- en 2006 : Nouvelles mesures vexatoires
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